Un 1er mai offensif
Face à Macron, un 1er mai offensif
Emmanuel Macron ne doit sa victoire qu’au seul rejet de l’extrême droite. Son projet politique ne bénéficie pas du soutien de la population. Il doit entendre la colère que sa politique génère et commencer par retirer sa réforme instaurant la retraite à 65 ans.
Nous défilerons partout en France ce 1er mai, aux côtés des forces syndicales, pour faire entendre cette exigence.
A Paris, le cortège s’élancera à partir de 14h30 de la place de la République. Le point du PCF se situera au métro Oberkampf.
Dans tout le pays, les militants communistes vendront le muguet de l’espoir.
- A Bourg, la section BBR tiendra un stand près du marché couvert (coté Amiot) dimanche matin et proposera son muguet.
- Elle participera à la manifestation syndicale départ devant la préfecture à 10h30 . Les luttes, mobilisations syndicales, des salariés, retraités, chômeurs vont être nécessaires et décisives.
Il est nécessaire pour les législatives que tous les partis de gauche se rassemblent, face à la droite et à l’extrême droite, parce que les citoyens-nes attendent des mesures concrètes pour améliorer leur vie au quotidien. Les négociations entre formations pour s’allier aux législatives sont toujours en cours. Les conditions d’un accord ne sont pas encore réunies, mais les partis disent leur volonté d’y parvenir. Unie, la gauche peut gagner et être majoritaire. En ce sens, les communistes ont proposé un contrat de législature, avec des propositions communes très concrètes, comme l’augmentation des salaires, la retraite à 60 ans le revenu d’autonomie étudiant, le milliard d’euros pour la lutte contre les violences faites aux femmes. Ils plaident pour que les forces de gauche se rassemblent autour des candidats les mieux placés aux législatives, en tenant compte des résultats de chacun et aussi tenir compte de l’ancrage local.